Quand rien ne va plus, que le pire s’est abattu sur vos épaules et que vous ne savez plus quoi faire, avez-vous une personne vers qui vous tourner? Une personne à qui parler, vous confiez, demander de l’aide? Quelqu’un qui ne vous jugera pas, qui ne vous fera pas la morale, qui ne fera qu’essuyer vos larmes et vous tendre la main? Quelqu’un qui vous offrira son aide pour trouver la force de surmonter cette épreuve?

Peu importe notre éducation ou notre culture, croire que nous ne sommes pas seul pour affronter les moments les plus difficiles permet de traverser l’inimaginable. Cela permet de lâcher-prise et ainsi puiser au plus profond de soi ces ressources qui nous étaient jusque-là encore inconnues. J’ai la conviction qu’en lâchant-prise nous ne baissons pas les bras mais, au contraire, nous laissons agir ce qu’il y a de plus puissant en nous en faisant confiance que nous sommes guidé, aidé, soutenu. Il y a un apaisement intérieur, une forme d’abandon à nos ressources les plus profondes.

Je veux croire quand plus rien ne fait de sens, qu’il y a quelque chose ou quelqu’un vers qui je peux me tourner pour demander de l’aide. J’ai choisi de croire que ma grand-mère décédée il y a des décennies est cet être à qui je peux parler, demander de me guider par un signe et même parfois, de me protéger parce que je me sens très vulnérable. Pour moi, c’est ma grand-mère, pour d’autres c’est peut-être un père, une mère, une sœur, un enfant, un conjoint, un ange, un ami, un Dieu, un animal, etc.

Pour vous, qui est-ce? Posez-vous la question et vous verrez que vous n’êtes pas seul!

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